Il y a 9 ans, je faisais timidement mes premières photos dans les rues de Saint Jacques, le quartier gitan de Perpignan. Depuis, j’y suis retourné au moins une fois par an, ramenant à chacun de mes passages, une pile de tirages à distribuer. Petit à petit, avec l’aide de ceux qui sont devenus mes amis, je commence à gagner la confiance des habitants du quartier. Alors, ce sont maintenant eux qui me demandent de les prendre en photo et je fais de mon mieux pour que les photos leur plaisent.

Il y a 9 ans, je faisais timidement mes premières photos dans les rues de Saint Jacques, le quartier gitan de Perpignan. Depuis, j’y suis retourné au moins une fois par an, ramenant à chacun de mes passages, une pile de tirages à distribuer. Petit à petit, avec l’aide de ceux qui sont devenus mes amis, je commence à gagner la confiance des habitants du quartier. Alors, ce sont maintenant eux qui me demandent de les prendre en photo et je fais de mon mieux pour que les photos leur plaisent.

Il y a 9 ans, je faisais timidement mes premières photos dans les rues de Saint Jacques, le quartier gitan de Perpignan. Depuis, j’y suis retourné au moins une fois par an, ramenant à chacun de mes passages, une pile de tirages à distribuer. Petit à petit, avec l’aide de ceux qui sont devenus mes amis, je commence à gagner la confiance des habitants du quartier. Alors, ce sont maintenant eux qui me demandent de les prendre en photo et je fais de mon mieux pour que les photos leur plaisent.

Il y a 9 ans, je faisais timidement mes premières photos dans les rues de Saint Jacques, le quartier gitan de Perpignan. Depuis, j’y suis retourné au moins une fois par an, ramenant à chacun de mes passages, une pile de tirages à distribuer. Petit à petit, avec l’aide de ceux qui sont devenus mes amis, je commence à gagner la confiance des habitants du quartier. Alors, ce sont maintenant eux qui me demandent de les prendre en photo et je fais de mon mieux pour que les photos leur plaisent.

Il y a 9 ans, je faisais timidement mes premières photos dans les rues de Saint Jacques, le quartier gitan de Perpignan. Depuis, j’y suis retourné au moins une fois par an, ramenant à chacun de mes passages, une pile de tirages à distribuer. Petit à petit, avec l’aide de ceux qui sont devenus mes amis, je commence à gagner la confiance des habitants du quartier. Alors, ce sont maintenant eux qui me demandent de les prendre en photo et je fais de mon mieux pour que les photos leur plaisent.

Il y a 9 ans, je faisais timidement mes premières photos dans les rues de Saint Jacques, le quartier gitan de Perpignan. Depuis, j’y suis retourné au moins une fois par an, ramenant à chacun de mes passages, une pile de tirages à distribuer. Petit à petit, avec l’aide de ceux qui sont devenus mes amis, je commence à gagner la confiance des habitants du quartier. Alors, ce sont maintenant eux qui me demandent de les prendre en photo et je fais de mon mieux pour que les photos leur plaisent.

Il y a 9 ans, je faisais timidement mes premières photos dans les rues de Saint Jacques, le quartier gitan de Perpignan. Depuis, j’y suis retourné au moins une fois par an, ramenant à chacun de mes passages, une pile de tirages à distribuer. Petit à petit, avec l’aide de ceux qui sont devenus mes amis, je commence à gagner la confiance des habitants du quartier. Alors, ce sont maintenant eux qui me demandent de les prendre en photo et je fais de mon mieux pour que les photos leur plaisent.

Il y a 9 ans, je faisais timidement mes premières photos dans les rues de Saint Jacques, le quartier gitan de Perpignan. Depuis, j’y suis retourné au moins une fois par an, ramenant à chacun de mes passages, une pile de tirages à distribuer. Petit à petit, avec l’aide de ceux qui sont devenus mes amis, je commence à gagner la confiance des habitants du quartier. Alors, ce sont maintenant eux qui me demandent de les prendre en photo et je fais de mon mieux pour que les photos leur plaisent.

Il y a 9 ans, je faisais timidement mes premières photos dans les rues de Saint Jacques, le quartier gitan de Perpignan. Depuis, j’y suis retourné au moins une fois par an, ramenant à chacun de mes passages, une pile de tirages à distribuer. Petit à petit, avec l’aide de ceux qui sont devenus mes amis, je commence à gagner la confiance des habitants du quartier. Alors, ce sont maintenant eux qui me demandent de les prendre en photo et je fais de mon mieux pour que les photos leur plaisent.

Il y a 9 ans, je faisais timidement mes premières photos dans les rues de Saint Jacques, le quartier gitan de Perpignan. Depuis, j’y suis retourné au moins une fois par an, ramenant à chacun de mes passages, une pile de tirages à distribuer. Petit à petit, avec l’aide de ceux qui sont devenus mes amis, je commence à gagner la confiance des habitants du quartier. Alors, ce sont maintenant eux qui me demandent de les prendre en photo et je fais de mon mieux pour que les photos leur plaisent.

Chaque année, des milliers de gitans, manouches et autres voyageurs, arrivent de toute l’Europe dans la petite ville des Saintes Maries de la Mer en Camargue. Ils viennent assister au pèlerinage et à ses différentes processions. Entourés de gardians, d’arlésiennes, de gendarmes, d’amateurs de flamenco, de photographes et de touristes, ils prennent possession de la ville. Ma famille, originaire de la région me parle de cet évènement depuis que je suis enfant en me précisant que « c’était mieux avant ». Alors, accompagné de mon neveu Loki, je suis allé voir ça de mes propres yeux. Nous avons planté notre tente pendant 48h, en immersion totale dans le pèlerinage. Nous avons fait des tas de belles rencontres, nous avons suivi les processions dans la mer et avons passé des heures à écouter les chanteurs et les musiciens jusqu’au bout de la nuit. Je veux bien croire que c’était mieux avant, mais c’est encore sacrément bien.

Chaque année, des milliers de gitans, manouches et autres voyageurs, arrivent de toute l’Europe dans la petite ville des Saintes Maries de la Mer en Camargue. Ils viennent assister au pèlerinage et à ses différentes processions. Entourés de gardians, d’arlésiennes, de gendarmes, d’amateurs de flamenco, de photographes et de touristes, ils prennent possession de la ville. Ma famille, originaire de la région me parle de cet évènement depuis que je suis enfant en me précisant que « c’était mieux avant ». Alors, accompagné de mon neveu Loki, je suis allé voir ça de mes propres yeux. Nous avons planté notre tente pendant 48h, en immersion totale dans le pèlerinage. Nous avons fait des tas de belles rencontres, nous avons suivi les processions dans la mer et avons passé des heures à écouter les chanteurs et les musiciens jusqu’au bout de la nuit. Je veux bien croire que c’était mieux avant, mais c’est encore sacrément bien.

Chaque année, des milliers de gitans, manouches et autres voyageurs, arrivent de toute l’Europe dans la petite ville des Saintes Maries de la Mer en Camargue. Ils viennent assister au pèlerinage et à ses différentes processions. Entourés de gardians, d’arlésiennes, de gendarmes, d’amateurs de flamenco, de photographes et de touristes, ils prennent possession de la ville. Ma famille, originaire de la région me parle de cet évènement depuis que je suis enfant en me précisant que « c’était mieux avant ». Alors, accompagné de mon neveu Loki, je suis allé voir ça de mes propres yeux. Nous avons planté notre tente pendant 48h, en immersion totale dans le pèlerinage. Nous avons fait des tas de belles rencontres, nous avons suivi les processions dans la mer et avons passé des heures à écouter les chanteurs et les musiciens jusqu’au bout de la nuit. Je veux bien croire que c’était mieux avant, mais c’est encore sacrément bien.

Chaque année, des milliers de gitans, manouches et autres voyageurs, arrivent de toute l’Europe dans la petite ville des Saintes Maries de la Mer en Camargue. Ils viennent assister au pèlerinage et à ses différentes processions. Entourés de gardians, d’arlésiennes, de gendarmes, d’amateurs de flamenco, de photographes et de touristes, ils prennent possession de la ville. Ma famille, originaire de la région me parle de cet évènement depuis que je suis enfant en me précisant que « c’était mieux avant ». Alors, accompagné de mon neveu Loki, je suis allé voir ça de mes propres yeux. Nous avons planté notre tente pendant 48h, en immersion totale dans le pèlerinage. Nous avons fait des tas de belles rencontres, nous avons suivi les processions dans la mer et avons passé des heures à écouter les chanteurs et les musiciens jusqu’au bout de la nuit. Je veux bien croire que c’était mieux avant, mais c’est encore sacrément bien.

Chaque année, des milliers de gitans, manouches et autres voyageurs, arrivent de toute l’Europe dans la petite ville des Saintes Maries de la Mer en Camargue. Ils viennent assister au pèlerinage et à ses différentes processions. Entourés de gardians, d’arlésiennes, de gendarmes, d’amateurs de flamenco, de photographes et de touristes, ils prennent possession de la ville. Ma famille, originaire de la région me parle de cet évènement depuis que je suis enfant en me précisant que « c’était mieux avant ». Alors, accompagné de mon neveu Loki, je suis allé voir ça de mes propres yeux. Nous avons planté notre tente pendant 48h, en immersion totale dans le pèlerinage. Nous avons fait des tas de belles rencontres, nous avons suivi les processions dans la mer et avons passé des heures à écouter les chanteurs et les musiciens jusqu’au bout de la nuit. Je veux bien croire que c’était mieux avant, mais c’est encore sacrément bien.

Chaque année, des milliers de gitans, manouches et autres voyageurs, arrivent de toute l’Europe dans la petite ville des Saintes Maries de la Mer en Camargue. Ils viennent assister au pèlerinage et à ses différentes processions. Entourés de gardians, d’arlésiennes, de gendarmes, d’amateurs de flamenco, de photographes et de touristes, ils prennent possession de la ville. Ma famille, originaire de la région me parle de cet évènement depuis que je suis enfant en me précisant que « c’était mieux avant ». Alors, accompagné de mon neveu Loki, je suis allé voir ça de mes propres yeux. Nous avons planté notre tente pendant 48h, en immersion totale dans le pèlerinage. Nous avons fait des tas de belles rencontres, nous avons suivi les processions dans la mer et avons passé des heures à écouter les chanteurs et les musiciens jusqu’au bout de la nuit. Je veux bien croire que c’était mieux avant, mais c’est encore sacrément bien.

Chaque année, des milliers de gitans, manouches et autres voyageurs, arrivent de toute l’Europe dans la petite ville des Saintes Maries de la Mer en Camargue. Ils viennent assister au pèlerinage et à ses différentes processions. Entourés de gardians, d’arlésiennes, de gendarmes, d’amateurs de flamenco, de photographes et de touristes, ils prennent possession de la ville. Ma famille, originaire de la région me parle de cet évènement depuis que je suis enfant en me précisant que « c’était mieux avant ». Alors, accompagné de mon neveu Loki, je suis allé voir ça de mes propres yeux. Nous avons planté notre tente pendant 48h, en immersion totale dans le pèlerinage. Nous avons fait des tas de belles rencontres, nous avons suivi les processions dans la mer et avons passé des heures à écouter les chanteurs et les musiciens jusqu’au bout de la nuit. Je veux bien croire que c’était mieux avant, mais c’est encore sacrément bien.

Chaque année, des milliers de gitans, manouches et autres voyageurs, arrivent de toute l’Europe dans la petite ville des Saintes Maries de la Mer en Camargue. Ils viennent assister au pèlerinage et à ses différentes processions. Entourés de gardians, d’arlésiennes, de gendarmes, d’amateurs de flamenco, de photographes et de touristes, ils prennent possession de la ville. Ma famille, originaire de la région me parle de cet évènement depuis que je suis enfant en me précisant que « c’était mieux avant ». Alors, accompagné de mon neveu Loki, je suis allé voir ça de mes propres yeux. Nous avons planté notre tente pendant 48h, en immersion totale dans le pèlerinage. Nous avons fait des tas de belles rencontres, nous avons suivi les processions dans la mer et avons passé des heures à écouter les chanteurs et les musiciens jusqu’au bout de la nuit. Je veux bien croire que c’était mieux avant, mais c’est encore sacrément bien.