Mounir, que j'ai photographié la semaine dernière alors qu'il coupait les cheveux des réfugiés soudanais, m'a donné envie de remettre la main à la patte
La première fois que je l’ai vue, je n’ai pas osé aller lui parler, j’avais peur qu’elle m’envoie balader. La deuxième fois, je lui ai proposé de faire une photo et elle a tout de suite accepté